• Bibliothèque

    Bienvenue

    (avec la voix de Jean Rochefort, en faisant la liaison)

         Vous qui êtes entrés ici, reprenez espoir ! Venez, entrez donc ! Poussez la porte de ma bibliothèque personnelle sans crainte ! Soyez les bienvenus dans mon antre ! Fouillez partout, n'hésitez pas ! Lisez  tous les livres que vous trouvez en ces lieux! Qui sait, peut-être y dénicherez-vous ce qui vous convient, et ferez des découvertes ! Surtout, ne vous perdez pas entre les couloirs ! Ils sont pour l'heure au nombre de trois : Livres, Films, et Jeux vidéo. En sortant, n'oubliez pas de partager votre opinion, si précieuse pour que perdure cette perdule bibliothèque ! Alors, installez-vous confortablement dans un fauteuil, un chat sur les genoux, faites votre choix parmi les articles qui vous sont proposés, et lisez !

    La Mandarine à la bibliothèque mystérieuse. 

  • Aujourd'hui est un jour à marquer d'une pierre blanche.

    Je ferme le blog.

    Pas pour les vacances. Pour l'éternité. :-) je dégage, je mets la clé sous la porte, je mets les voiles, appelez ça comme vous voulez, oui, ça fait solennel dit comme ça, mais c'est la vérité.Désormais vous pouvez me retrouver à cette adresse: 

    http://leblogdemadou.blogspot.fr

    Bon, ya rien pour l'instant, c'est normal, je l'ai fait aujourd'hui.

    Pour ceux qui s'interrogent sur cette décision, c'est juste parce que:

    1) La régularité des mises à jour laisse carrément à désirer.

    2) Je préfère commencer l'année scolaire avec un nouveau départ bloguesque. Ce sera plus joli comme ça.

    3) La Grande Déesse Mimosa et La Déesse Saphi et La Déesse Nadou ont leur blog sur cette plateforme.

    Voilà, maintenant, vous savez tout.

    J'espère vous retrouver sur mon nouveau territoire, qui sera je l'espère tout-beau-tout-rigolo-tout-régulier-et-le-bazar.

    A BIENTÔT SUR MON NOUVEAU TERRITOIRE!

    Perdule, ou La Mandarine qui change de blog. 


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  • Salut les copains! Je vous ai manqué? Comment ça, non? Bande de sales vilains.

    Bref, j'ai vu Saint Seyia, La Légende du Sanctuaire, et autant vous prévenir: c'est pas un cadeau.

    Ce film s'annonçait pourtant pas si mauvais. Je connaissais vaguement le synopsis de la série, et l'affiche promettait pas mal question esthétique!

    D'ailleurs de ce côté-là j'ai pas été décue. Graphiquement c'était vraiment sublime. (enfin, tous les films animés en images de synthèse avec beaucoup de détails je les trouve magnifiques de toute façons.). Seul bémol de ce côté: impossible de distinguer ces enflures de chevaliers d'or (les méchants) les uns des autres sauf quand ils enlèvent leurs casques, et encore!

    Graphiquement c'est réussi.

    Pour le reste...

    C'est de la grosse, mais alors de la grosse daube.

    A part Seyia, les autres chevaliers ne sont absolument pas dévelloppés. Ils sont là, ils battent les méchants et sourient bêtement qand viennent les beaux, mignons et très lourds discours sur l'amitié et le courage. Si vous aimez pas ça, sachez que vous en avez pas fini avec ces saloperies: il n'y a pas UN seul manga où il y en a pas au moins une dizaine. D'ailleurs One Piece n'y fait pas exception, hélàs... Mais reprenons. Seyia se ridiculise en voulant paraître mignon et sympa, et bat le méchant en choppant le super-pouvoir de la constellation du Pégase par on ne sait quelle magie chelou. Donc, les autres personnages sont... là, et Seyia, le seul personnage un peu dévellopé, ne m'a absolument pas convainue.

    Ensuite, vient le défaut majeur de ce film: c'est très confus.

    Même les fans de la série se sont retrouvés largués d'après l'avis de mes copains Zodiaqu-istes. Et ce défaut vient d'un fait simple: Comment caser une histoire pareille en une heure et demie? Il aurait au moins fallu trois ou quatre films de deux heures chacun pour apporter à chaque personnage et à chaque combat la grandeur qu'il méritait. Ah oui, les combats! A part le combat contre Cancer, dont j'ai adoré la petite séquence musicale, (je me retrouvais à claquer des doigts comme une andouille dans la salle), le reste m'a très déçue. Je suis habitués aux longs, très longs combats de One Piece et de Fairy Tail, alors UN méchant balèze éclaté en dix minutes m'a fait l'effet d'une baffe. D'ailleurs ça vaut aussi pour Avatar, the last Airbender, une série que j'adore et dont je parlerai prochainement.

    Puis viennent les beaux discours sur l'amitié, le courage et la détermination qui viennent parasiter TOUS les mangas de ce bas monde et qui n'ont jusque là servi qu'à me faire culpabiliser, vu que je ne finis jamais ce que je commence et que ma scolarité a été jusque là un véritable désastre. Oui, il y a un rapport, et ne détournez pas le regard en prenant un air dégagé: vous aussi, ces beaux discours vous ennuient et vous font grimacer. Avouez, je le vois, je le sens, je vous ai démasqués.

    Pour faire court:

    -Graphiquement, c'est réussi.

    -Les personnages et les combats sont bâclés à cause de la durée du film.

    -C'est très confus.

    -Et rien à faire, mais les Japonais ne veulent pas lâcher le côté édifiant et donneur de leçons dans leurs dessins animés. C'est dans leur nature.

    ~~~~°~~~~

    Sinon, je vous prépare un petit strip un peu spécial, et j'espère qu'il vous satisfera. Non, je n'en révèlerai pas la nature! Vous ne me ferez pas parler!

    Enfin, il est tard et je dois réviser ma compo d'histoire sur Paris au Moyen-Age et les Grandes découvertes. Et continuer mon fanart des Légendaires. Et achever ma seconde partie de Professeur Layton et l'Appel du spectre. Et aider ma mère à finir son puzzle. Et...

    Vous l'aurez compris, j'ai plein de trucs à faire et je m'y mets à 22:40. Vilaine que je suis ><

    Bye!

    La Mandarine qui va fantasmer sur Zuko de Avatar.:roi:

     


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  • *roulement de tambour*

    Tremblez, bande d'humains! Inclinez-vous, prosternez-vous, embrassez le sol, devant Mademoiselle de Blois, Marianne de Bourbon, fille de notre roi Louis le Grand et de Mademoiselle ou Madame je sais plus de La Vallière!

    Marie-Anne, fille du rouâ.

    Le nom de l'auteur vous est peut-être familier, puisqu'Anne Marie Desplat-Duc est également l'auteur de l'excellente série Colombes du Roi-Soleil. (d'ailleurs il me semble avoir fait un ou deux articles dessus).

    Marie-Anne est la fille de Louis XIV et de son ancienne favorite Mademoiselle Louise de La Vallière, et le récit commence quand elle et son petit frère Louis (Louis, fils de Louis et Louise, c't un gag?!) font leur entrée à la cour, et pour l'instant il ne semble pas près de s'arrêter.

    Bref! Marie-Anne, fraîchement nommée Mademoiselle de Blois, s'adapte merveilleusement à la vie de cour. Bals, fêtes, rubans, musique: elle s'amuse beaucoup, et partout on loue son intelligence et sa beauté. Seule ombre au tableau: sa mère qui se retrait de plus en plus de la cour; elle est oubliée du roi au profit de Madame de Montespan (puisse cette vile créature crever en enfer). Elle envisage même d'entrer au couvent. Marie-Anne va donc se retrouver seule avec son petit frère, son père dont elle n'arrive pas à capter toute l'attention et ses deux gouvernantes. Mais elle a plus d'un tour dans son sac pour s'amuser et sauver des vies!

    Cette série est plutôt pas mal. L'auteure adopte le vocabulaire de l'époque (normal vu que l'histoire est racontée par Marie-Anne) de façon à ce qu'on se retrouve à parler comme au temps du Roi-Soleil après avoir fini la série. 

    Un exemple de dialogue avec ma mère? Mais c'est avec joie.

    "Ma mère: Salut ma chérie, t'as bien dormi?

    Moi: Fort peu, il est vrai, car je dévorais les aventures de la fille aînée du roi Louis le Grand, Marie-Anne, demoiselle de Blois première du nom, et j'espère de tout coeur que la série ne va pas s'achever bientôt car elle est fort intéressante!"

    La série se déroule pendant la construction de Versailles, et on a donc droit à la description du bordel  grand désordre qu'est un immense château encore en travaux et habité par des courtisans riches et prétentieux. Habité, remarque, il ne l'est pas si souvent: si le roi est fixé à Versailles, il trouve toujours un prétexte pour se déplacer; "Saint-Germain est le château de son enfance", "Fontainebleau est si agréable en automne"," mais ce ne serait pas au château de Clagny que vit la Montespan?". Et bien sûr, lorsqu'il se déplace, toute la cour le suit, sauf à Marly où il ne reçoit que des intimes.

    Si j'ai trouvé que Marie-Anne était par bien trop curieuse et un brin prétentieuse, je me suis vite aperçue que cela faisait intégralement partie de son charme, et accompagnée de sa présence d'esprit (pour reprendre les termes de l'époque), rien ne lui résiste, pas même les lecteurs. Et, incroyable, elle a survécu à son père, ce qui m'a surprise car je pensais que Louis XV, arrière-petit-fils de Louis XIV, était son seul descendant vivant à la mort du roi en 1715. Cependant, j'appris avec joie qu'elle vécut au contraire jusqu'à l'âge avancé de 73 ans. C'est fort âgé pour l'époque. 

    Je regrette simplement qu'on ait pas une description plus détaillée des robes. C'est sûrement car leur forme est évidente pour Marie-Anne qui je vous le rappelle, est la narratrice. Mais je vous jure que rien que cette description va vous faire pâlir d'envie. C'est fort court, mais cela donne un aperçu.

    "Rosine fut fort impressionnée lorsque le sieur de Langlée sortit de leur étui de coutil la jupe et le bustier qu'il avait dessinés et que ses couturières avaient réalisés.

    -Que pensez-vous de ces volants de rubans sur le devant? C'est une mode toute nouvelle. On appelle cela des falbalas.

    -Des falbalas? Quel drôle de nom!

    -Cela vous plaît-il?

    -Tout à fait.

    Se tournant vers ma gouvernante, il expliqua:

    -Je n'ai pas mis de prétintailles, la jeunesse de Mademoiselle de Blois ne s'accordant pas avec ces ornements. ( prétintailles: motifs découpés dans diverses étoffes et appliqués sur le devant de la jupe et le bustier)

    (...) Il  plaça le bijou au centre du bustier et ajouta:

    -Pour mettre en valeur cette broche, je vais lui confectionner un nid de soie blanche que je coudrai à cet emplacement. Le saphir et les diamants y étincelleront de mille feux. Quant aux rubans, je vous suggère, madame, celui en tour de cou et ceux-ci en rappel sur les manches. Il sont un ton au dessous des falbalas, ce qui rehaussera l'éclat de votre teint."

    Fin de citation.

    Cela me décoit, je n'ai point trouvé de description propre à vous faire baver de jalousie. Tant pis, ce sera pour une prochaine fois.

    Enfin, je pense vous avoir suffisamment informé sur les aventures de cette demoiselle, et c'est avec le sourire et la tête pleine de Versailles que je vous dis au plaisir!

    Saluuuut!

    Perdule ou La Mandarine de Blois. :roi:


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  • A chacun sa route, à chacun son chemin.

    Je n'aime pas me lever

    A sept heures du matin

     

    (une rime en er, personne?)

    Ben ouais, ya internet que de sept à huit heures du matin. La vie elle est z'injuuuuste!

    Donc ben les dessins et les CDC je sais pas si vous en aurez avant la fin de cette saloperie de contrôle parental.

    Désolée les zamis, je vous aime très fort quand même!

    grrrr, j'dois partir au lycée dans 5 minutes et chuis même pas en train de m'habiller.


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  • (article rédigé en écoutant la version chimpunk de Libérée, délivrée)

    Bonjour, amis du jour. Bonsoir, amis du soir.

    J'ai été une vilaine petite fille, et le Père Noël m'a privé de connexion Internet. Donc, donc, je n'ai pas pu faire mon devoir. Je sais, cette excuse n'est pas valable, et vous allez me mettre un mot dans mon carnet bleu en me disant que je suis une méchante.

    BREF!

    Ce sursaut de bloggisme a été fait pendant une miraculeuse heure de connexion, et donc ben, c'est pas dit que vous en aurez un bientôt. En fait, ya même tellement de trous dans les mises à jour que j'ai même pensé à recommencer un blog quand le Dieu Tout Puissant Internet (pour reprendre les mots de Clem14)   se sera décidé à m'offrir un accès stable et durable à son savoir et à ses possibilités. Qu'en pensez-vous?

    Et encore navrée pour ce trou de ... *compte sur ses doigts* trois mois. Pendez-moi.

    La Mandarine qui va bouffer un yaourt à la confiture et en foutre partouthe


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  • Loin du froid de Décembre - Anastasia   Une ancienne ritournelle... 

    Bonjour, bonjour! (la pomme c'est parce que je sais pas faire des notes de musiques sur un Mac)

    je suis de retour, pour vous jouer un mauvais tour! Nan, en fait, comme vous le savez, je devais aller voir Lou! en avant-première il y a une semaine, mais m'orientant aussi bien qu'une boussole pétée, je n'ai pas trouvé le cinéma.

    Mais je me suis dit que ce serait trop bête de ne rien écrire du tout, alors, profitant de ce qu'un lecteur (son nom restera secret) m'ait informé de la sortie du tome 10 de La Rose Ecarlate, j'ai sauté sur l'occasion pour vous faire une critique!

    Tu aurais dû me laisser mourir... Que voilà un titre bien tragique, n'est-ce pas?

    La Rose Ecarlate

    On ne présente plus cette imbécile de Maud et son fiancé Guilhem, toujours là pour rattraper ses bêtises. Justiciers sous Louis XV, opérant sous le nom de La Rose écarlate pour Maud et du Renard pour Guilhem, nos amoureux ont mis leur vie de justiciers un peu entre parenthèses ou presque, pour trouver un trésor religieux. Ils sont accompagnés de Natalia, une jeune femme au passé et aux motivations obscures... Vengeances, trahisons et autres trucs pas nets qui font l'essence même des romans policiers, le tout assaisonné d'une bonne louche d'humour, plus la patte graphique de Pat, Philippe et compagnie, mis au four pendant dix minutes. 10, 95 balles de bonheur presque total. Mais, car il y a un mais, si les gags sont assez drôles, le mystère et tout, il n'y a pas assez d'action. Ce qui donne un total un peu déséquilibré, mais rien de super-grave, je vous rassure. Donc jetez-vous sur ce livre et cette série par la même occasion (c'est le dixième tome), vous pouvez y aller les yeux fermés.

    Brrref.

    Pour changer de sujet:

    -Le tome 17 des Légendaires sort dans une semaine! Alléluia.

    -Vous avez une idée de strip?

    -J'ai acheté une figurine de Luffy (OP) qui fait tirelire! youpi (la grosse gamine)

    Sinon, il semblerait que je n'ai hélas rien à raconter d'intéressant... (je n'arrive décidément pas à me rappeler qu'il n'y à pas d'accent grave au A de hélas!)

     

    Donc, ben à bientôt les homoncules.

    Perdule ou La Mandarine qui veut se barrer loin, très loin du froid de décembre. Une ancienne ritournelle... 


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  • Il ne peut changer sa vie...

    Il s'enfuit loin d'içi.

    Mais n'oubliez jamais son ignominie!  

     

    Non, je ne suis pas morte! non, je n'ai pas abandonné Eklablog!

    C'est juste que One Piece  les maths remplissent un peu mon temps de vie à ras bord, et aussi que je suis victime d'une grave maladie que je tiens de ma mère, la Procrastination aigüe! 

     

    Mais trêve de bavardages. Demain, je vais voir Lou! en avant première avec ma keupine ChaCha. Donc, dans pas longtemps, normalement, vous devriez avoir une critique bien propre bien fraîche bien faite rien que pour vous.

    Ah, et avant que j'oublie: j'organise un concours avec ma pote Mathie.

     

     


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  • "Comment ça va, bande d'humains? Pouah! Toujours aussi moches."

    Arlong, One Piece, épisode 35

    Moi, ça va on ne peut mieux. J'ai eu mon brevet!

     

    Quand ma copine et moi on a eu la nouvelle, on était à peu près dans cet état-là (pour préserver son anonymat, appellons-la Poulpy et dessinons-la peu ressemblante).

    (dessin)

    Mais, bon, j'suis pas là pour parler de ça. Il se trouve que j'ai obtenu le tome 3 des Légendaires Origines, et c'est un vrai bijou.

    Un ptit résumé rapide?

    Les Monslaves sont créatures non-humaines qu'on dresse pour se battre entre elles dans des combats à mort. (comme des Pokemons mais en moins drôle). Bien que le héros de l'histoire soit un jaguarien (monslave d'une extrême rareté et donc très cher), il est rapidement acheté par un des plus riches dresseurs de monslaves, le Seigneur Menthos. Parmi les monslaves de son écurie, le jeune jaguarien rencontre Samaël, le champion de Menthos, qui deviendra son grand frère de substition et lui donnera son surnom, Gryfenfer. Mais Samaël n'est-il pas également l'une des appellations du Diable? Ce gosse est peut-être plus sombre qu'on ne le croit.....

    Comme d'habitude, Nadou et Sobral signent une merveille.

    Graphiquement, rien à dire. Les couleurs de Nadou sont de plus en plus belles et la mise en page de Sobral est géniale. Il paraît que les auteurs se sont dessinés dans l'album, mais je ne les ai pas trouvés. J'ai juste vu Vash de la série Trigun et des princeses Disney. Scénario, super, même s'il y a juste un truc que j'ai trouvé bizarre (ceux qui n'ont pas lu le livre, cachez-vous les yeux! lire ceci sans connaître l'histoire constiturait un crime. Les autres, séléctionnez l'espace blanc si-après): Les Jaguarians sont un peuple méprisé et haï par les humains. Pour éviter que ces derniers les tuent, ils ont érigé leur cité dans un espace magique qui la rend invisible à quiconque n'y est pas invité, et ce depuis plusieurs siècles. La cité n'est donc pas sous terre. Alors POURQUOI voit-on une statue du père de Gryf dans des vestiges souterrains de jaguarians?

    A part ce truc bizarre, rien à redire, cet album est drôle, émouvant, passionnant, bref parfait. On n'en attendait pas moins des auteurs.

    Bon, je vous quitte, je dois aller savourer ma victoire au brevet avec Poulpy (oui, ça fait trois jours qu'on a le diplôme et qu'on est hystériques.). 

    Salut!

    La Mandarine Monslave.


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  • Un paisible mardi midi, à Monoprix. Je cherche un album de Princesse Sara, étant en panne d'inspiration pour le concours de Saphi (dessiner une princesse). Mes regards parcourent les rayons sans repérer ce qui m'intéresse. Soudain, mes yeux s'immobilisent: ce ne serait pas le bouquin qui a reçu une super-critique de Je Bouquine? Curieuse, j'empoche le dit bouquin pour une modique somme, avant de rentrer à la maison pour le lire. Les critiques avaient raison: ce livre est super!

    Wonder de R-J Palacio "Je m'appelle August. Je ne me décrirai pas. Quoi que vous vous imaginiez, c'est pire."

    Auguste est un petit garçon qui a une chienne, qui joue à la Xbox, et qui fait du vélo. Dit comme ça, ce gosse a l'air parfaitement normal. Ce n'est pas la première impression qu'on a en le voyant. On a plutôt envie de se barrer en hurlant. Ben, oui, il est né avec une très grave malformation génétique qui l'a empêché d'avoir une vie sociale. Il a toujours vécu entouré de sa soeur, sa chienne et ses parents. Alors, quand sa mère lui annonce qu'elle l'a inscrit au collège, lui qui n'est jamais allé à l'école, son univers s'effondre: que va-t-il y devenir? Pourra-t-il convaincre les autres enfants qu'il est comme eux?

    En lisant ce bouquin, j'ai pensé à l'histoire que me raconte tout le temps ma mère: on déguise un type en clochard et il "tombe": personne ne se donne la peine de le relever. On recommence l’expérience avec le même type, cette fois rasé, vêtu d'un costard-cravate, on se précipite pour l'aider à se relever.

    Oui, bien sûr, il y a des moments tristes (oui, bon, je suis archi-sensible, mais je ne m'attendais quand même pas à pleurer.), des moments où on se sent vaguement mal à l'aise, où on se demande comment on réagirait à la place des gens qu'on trouve bête de rejeter Auguste, et puis avec du recul on s'aperçoit qu'on réagirait à peu près comme eux. (Non ne me balancez pas de tomates!).

    Mais en fait j'ai été surprise en voyant qu'on ne s'étendait pas sur des pages et des pages de drames, mais qu'en fait, le récit pouvait être carrément drôle. Là dessus, ça m'a un peu rappelé Le Premier qui pleure a perdu.  Les personnages ont conscience qu'ils ont des défauts, les acceptent, les assument et avec humour en plus! Sérieusement, je me demande si ce genre de gens existe en vrai. Ah oui, aussi: le récit est raconté par Auguste, et par d'autres personnages plus ou moins impliqués dans son histoire.  J'aime bien cette idée qu'une histoire doit être racontée sous différents angles, ça rend l'histoire plus vivante.

    Ouais bon, ce livre est génial, je l'ai lu en deux heures, j'ai beaucoup ri, j'ai pleuré, etc, etc. Vous devez l'acheter ou vous passez à côté d'un truc!

    Bon, je me dois de quitter cet écran d'ordi par respect pour mes pauvres oreilles qui pâtissent des cris engendrés par la Coupe du Monde. Regardez ça sur le sujet: http://maliki.com/strip.php?strip=90,  je suis entièrement d'accord avec ce qu'écrit l'auteure.

    Salut!

    Perdule ou The Wonder Mandarine :crazy:

     

     


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  • Oui, bon je sais que c'est contraire aux principes de d'habitude de publier plus de deux articles par mois, mais là je devais impérativement faire une exception pour ce film.

    Ce film est un remake fantastique, dans les deux sens du terme, du film de Dinsey "La Belle au Bois Dormant" avec sa chanson "Mon amûûûr, je t'ai vu au bôô miliieu d'un rêêêve..." (1959). Dans le premier, Maléfique n'est qu'une créature qui semble être née pour embêter le monde et cette  petite princesse idiote d'Aurore. Dans le deuxième, le personnage est plus creusé: on découvre ses origines, la réponse à la question si souvent posée par Kirikou "Pourquoi est-elle méchante?", réponse que vous ne pourrez m'arracher sous aucune torture au monde.

    Esthétiquement, c'est magnifique, somptueux, féérique, incroyable, magique, et j'en passe: la Lande, les Décors, les costumes, tout est si bôô que j'ai eu les larmes aux yeux (remarque, c'était peut-être la 3d) (mais pourquoi j'ai pensé à Arthur et les Minimoys?). Les ailes de Maléfiques sont vraiment classes ( je n'ai pas trouvé d'autre vocabulaire). Le scénario, pour moi qui ne suis pas habituée aux remakes, c'était une surprise. Non, je ne vous dirai rien, motus et bouche cousue! il y avait des moments drôles, des moments excitants (non pas dans le sens que vous pensez). Un petit spoil? allez: la scène où Maléfique balance son sort à la princesse est identique dans les deux films!  (mais zut, pourquoi ces idiotes de fées ne donnent jamais l'intelligence à la princesse?).

    Angelina Jolie incarne une Maléfique majestueuse, impériale, mystérieuse, bref, magnifique, et Elle Fanning fait une Aurore très convaincante, charmante princesse innocente, mais pas gnan-gnan pour autant.

    J'ai bien aimé le personnage de Diaval car son nom est trop classe: comme dit Mimosa, "il entretient le dialogue conflictuel à l'intérieur de Maléfique, pose les bonnes questions".

    Stéphane quant à lui n'est plus le moustachu bien gentil qui se soûle avec son pote: pris en sandwich entre la culpabilité et le désir de vengeance, c'est le "méchant" de l'histoire, mais on l'aime bien même si, comme Scar (Roi Lion), on n'attend qu'une chose, le voir clamser.  

    L'évolution de Maléfique dans le film est très émouvante; c'est la "gentille", elle s'en prend plein la gueule, et donc, la raison du sortilège jeté à Aurore est beaucoup plus développée et tient plus la route que dans l'original. Oui parce que moi je ne tue pas la gosse d'une connaissance pour une raison aussi stupide qu'un oubli, j'envoie un texto à la personne en question, ou, au pire, je la supprime de ma liste d'amis Facebook. 

    "Bon, passons aux musiques: elles sont composées par James Newtown, elles sont juste splendides! des morceaux épiques pour les batailles sanglantes, des petites notes touchantes pour les scènes gnan-gnan, des envolées lyriques pour les séquences aériennes, rien à jeter, tout est parfait!" Mimosa, sur son blog

    Je suis entièrement d'accord avec Mimosa là-dessus, voilà pourquoi je me contenterais d'un modeste Ctrl-C+Ctrl-V de son article sur le sujet, ce dernier étant ce point sur les musiques.. (noooon pas les tomates s'il vous plaît!)

    Passons aux négatifs: la palme du personnage le plus inutile de l'histoire de Disney, j'ai nommé Le Prince Philippe! il n'apparaît que trois fois en tout, et juste pour faire des sourires idiots et un baiser.

    Et puis ya eu un passage qui m'a très fortement rappelé La Reine des Neiges, je ne vous dirai pas lequel, mais ça m'a un peu sonné, et vaguement gâché le plaisir.

    Et puis une autre petite pétouille: les trois fées de notre enfance, Flora, Pâquerette et Pimprenelle, ne sont réduites qu' à 3 petites créatures stupides (pour ne pas employer de terme plus grossier). Je rappelle au passage que dans l'original, c'est l'une des trois fées qui est censée "adoucir" le sortilège de Maléfique, mais la scène n'est même pas évoquée. Donc, à part manquer de tuer la gosse à chaque fois qu'elles essaient de lui donner du biberon, elles ne servent à RIEN non plus.

    "Bon, passons aux musiques: elles sont composées par James Newtwork, elles sont juste splendides! des morceaux épiques pour les batailles sanglantes, des petites notes touchantes pour les scènes gnan-gnan, des envolées lyriques pour les scéquences aériennes, rien à jeter, tout est parfait!"

    Donc, en gros:

    Ce film est magnifique du point de vue esthétique, le scénario est très intéressant. Si je dis que "intéressant" c'est que  les seules pétouilles du film le concernent directement (ya des détails un peu "WTF?" Le tout accompagné par des musiques incroyables.  Ça vaut complètement le coup! Si vous faites le pont (et avez donc quatre jours de vacances) vous devez absolument aller le voir sous peine de rater votre mois de Mai!

    Bon, le Chat a faim et persiste à se mettre devant l'éckfgv fèà+)"" Mais Mouche abrutie barre-toi! je te donnerai à manger aprè"mhuè_àgg0ZNOUGMFGY79:,fèco;,wx'(e;è'_weeelokdxs'é'((((_

    Ouais, bon, j'y vais ou cet article va se changer en Chroniques d'un chat affamé et analphabète.

    Salut!

    Perdule ou La Mandarine Maléfique :evildevil:

     

     


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